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Essai BMW i5 eDrive40 : la routière à contre-courant

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Voici la 8ème génération de Série 5 modèle qui a été lancé avec la version E12 en 1972. Une longue carrière pour l’un des modèles les plus vendus au monde pour BMW. Tout comme le X1, les clients vont pouvoir choisir entre les versions 100% thermiques avec hybridation légère, hybrides rechargeables et 100% électriques. Nous les essayerons toutes. On commence par la version « à pile » la moins puissante.

Nouveau look pour la BMW Série 5 G60

La Série 5 aura connu à ce jour deux grandes ruptures en matière de style : la E60, signée Chris Bangle et la G60 que nous avons sous les yeux. La première la doit essentiellement à son approche novatrice au niveau des phares avant et feux arrière et son tableau de bord à double casquette. La nouvelle s’appuie sur des détails qui viennent alourdir le design BMW : forme des pare-chocs torturée, joncs chromés, bas de caisse avec des motifs, pièce de toit pour l’antenne GPS… Cela transparait plus sur une couleur claire comme le blanc qui équipait une autre série 5.

Mais dans l’ensemble cette nouvelle série 5 avec est une belle voiture. Son coffre rappelle, de part son inclinaison, celui d’une E12, ses phares entourent une calandre d’une taille plus « normale » que celle qu’on a connu avec la Série 7 par exemple et peut être éclairée. Bien campée sur des roues de grand diamètre (20 pouces en option), elle a grandi fortement par rapport à la précédente.

Gabarit d’une routière… mais elle craint la ville

Plus que la longueur (5,06 mètres, soit 10 centimètres de plus que la précédente version et 44 de plus que la E12) c’est la largeur qui impressionne. Avec 2,15 mètres rétroviseurs inclus, il faut être prudent dans les parkings. La contenance du coffre annonce 490 litres, soit 30 de moins que la version thermique. Bien entendu, contrairement à l’i4, pas de hayon sur cette berline. L’accroissement en longueur ne semble pas avoir bénéficié aux places arrière.

Petite déception pour une telle voiture : certains plastiques comme les grilles de protection des haut-parleurs avant ou encore les contre portes, ne sont pas dignes de son standing… La version 520d exposée, que nous testerons début décembre, nous a paru encore plus perfectible sur ce point. A vérifier lors de son essai. Notons que BMW a simplifié les niveaux de finition : il n’en existe que deux : celle de base et la M Sport.

PAGE 2 : OS 8.5 et amusement

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